FONTAINE DU MÛ
QUOI: FONTAINE DU MÛ / Fontaine de la rue du Mû
QUI: Création (?), Réparations: Thiac Aîné.
OÙ: Cours d'Alsace et Lorraine / Rue du Mû (jadis: Dejus-lo-Mur : Rua Dejus-lo-Mur; rua Debas-lo-Mur; rua Jus-lo-Mur; rua Juxta- Murum, Subditus-Muro, Subtus- Murum, rue Sous-le-Mur; rue du Mû; rue Caguemule; rue des Mottes; rue des Vieilles-Estuves, rue de Toscanan/Toscallan/Tuscalan/Tuscana/Tuscanan/Tuscane; rue Troscuney; petite rue Saint- Antoine)
QUAND: Création: Avant la Révolution, Destruction: 1865-1867
COMMENT: Alimentée par le trop-plein de la fontaine du Poisson Salé, munie d'un bassin d'une seule cannelle
> NATURE/CONSTRUCTION: en pierre sans ornementation (très probablement)
> ÉTAT: Disparue lors du percement du Cours Alsace-Lorraine
COMBIEN: 1 exemplaire
POURQUOI: Permettre aux tueries/boucheries de la rue du Mû de pouvoir laver avec une eau propre (et non avec celle du Peugue) les carcasses et les abats destinés à la consommation.
CONTEXTE HISTORIQUE
La place du Vieux-Marché (Marché-aux-Veaux) fut jusqu'en 1801(époque à laquelle le Grand-Marché, construit sur l'emplacement de l'ancien hôtel de ville — Saint-Éliége Éloi — et du collège de Guyenne) livrée au public, le seul endroit où on débitât toute espèce de comestibles. C'était le Grand-Marché, "lo Mercal", depuis un temps immémorial, car on a retrouvé des contrats relatifs à des ventes faites à des membres de la pieuse confrérie des bouchers en 1350, les boucheries alors étaient appelées breuterias (lieux des bêtes brutes).
Sur la droite de la place du Vieux-Marché était installé le mû (réunion de tueries privées), qui fournissait la viande nécessaire à la consommation de la ville. La rue du Mû était une de ces petites voies (ruelle ou cul-de-sac) étroites, tortueuses, montueuses, sans air, bordées de maisons humides, échoppes en contre-bas de plusieurs mètres, aux alentours de l'église Saint-Paul, qui disparurent lors du percement du cours d'Alsace-et-Lorraine; la rue du Mû conduisait directement à l'abattoir.
La rue du Mû: contrairement à ce qu'on peut lire parfois, ce nom ne venait pas du rugissement que font entendre les bœufs lorsqu'on les abat. Cette rue s'appelait en fait jadis "rue Sous-le-Mur" (rua de subtus murum / rua dejus le mur), désignation qui lui venait de ce qu'elle était placée au-dessous d'un ancien mur de la ville qui fermait le côté méridional de la première enceinte de Bordeaux. Les maisons de la rue de Mù et de la rue du Loup, lui y étaient adossées de part et d'autre.
Autour du Vieux-Marché, les bouchers avaient loué de petits magasins qui leur servaient d'étals, et où ils débitaient leur marchandise saignante.
Vues du VIEUX MARCHÉ (Marché aux Veaux)
Dans la partie ouest de la place s'élevait une croix de pierre dont la présence est attestée dès 1553 ; elle était située près de la Poissonnerie. L'intendant Tourny, pour moderniser la place, décida de la couvrir d'une halle unique. Cette transformation entraîna le déplacement de la croix, qui fut transportée place Sainte-Colombe en 1760; elle disparut en 1793. Presque au centre de la place se dressait le pilouret, ou pilori. Vers 1400, il se composait d'un simple poteau supportant une plate-forme de bois abritée par un pignon. Plus tard, à une date inconnue, il fut remplacé par une tour hexagonale, composée d'un rez-de-chaussée entouré d'un siège avec auvent circulaire et d'un premier étage couronné d'un pignon nanti d'une girouette servant de loge pour les marchands.
A l'intérieur de la lanterne à jour qui surmontait la tour se trouvait une roue montée sur un pivot vertical et percée de trous en forme de carcans à travers lesquels on faisait passer la tête et les bras des condamnés. Le bourreau faisait mouvoir cette roue à intervalles réguliers afin que le ou les condamnés apparaissent successivement à toutes les fenêtres du pilori. Derrière le pilori, la clie, nous apprend encore l'abbé Bellet, était une halle fermée de tous côtés par des claires-voies, avec de gros barreaux ». Autour de la place du Marché se trouvaient de nombreux étaux où se débitait de la viande de boucherie (breuterias).
Dans les textes anciens, le pourtour du marché est désigné sous le nom de Garlande, de Guirlande deu Mercat.
RÉCIT HISTORIQUE: (Délibérations du Conseil municipal, registre n" 18, séance du 23 février 1828.)
Il n'existe point à Bordeaux, dans les rues du Mû et des Trois-Canards, des locaux particuliers et isolés pour l'abattage des animaux destinés à la consommation des habitants. Ces locaux ne sont autre chose que quelques hangars et le rez-de-chaussée des diverses maisons dont les étages supérieurs sont habités. C'est là que l'on fait subir aux viandes et aux produits qui en proviennent toutes les préparations. Ces établissements informes sont situés au centre de l'ancienne ville dans deux rues tortueuses et bordées de hautes maisons. C'est dans la rue du Mû que se trouvent les principaux ateliers d'abattage.
La partie qui va de ce passage à la rue des Trois-Maries est irrégulière et n'a qu'une largeur de trois mètres entre des maisons élevées de trois ou quatre étages au-dessus du rez-de-chaussée. La partie de la même rue qui va du passage susdit à la rue des Épiciers n'a également qu'une largeur de trois mètres. Elle est bordée, du côté du nord, par des maisons élevées de deux ou trois étages; du côté du midi, elle est bordée de hangars irréguliers et d'une hauteur inégale situés au-dessus du ruisseau du Peugue, hangars qui servent à l'abattage.
L'odeur la plus infecte règne constamment dans la totalité de cette rue, et ne peut être supportée que par les personnes qu'un long usage y a habituées. Les hangars dont on vient de parler ont une largeur de trois à quatre mètres. Ils sont adossés à des maisons d'habitation fort anciennes qui servent, ainsi que ces hangars, au logement des bestiaux, à leur abattage, à la fonte des suifs, au salage des peaux, enfin à toutes les opérations et manipulations nécessaires. Cette portion de la rue du Mû est fermée à chacune de ses extrémités par une vieille porte à claire-voie qui reste fréquemment ouverte, même au moment des abattages.
L'eau du ruisseau du Peugue sert à toutes les manipulations et aux lavages. Cette rue est constamment obstruée par des troupeaux de moutons ou d'autres animaux. Les embarras qui en proviennent, et surtout l'odeur infecte qui règne dans cette rue en éloignent les passants. Tel est, avec la plus grande exactitude, l'état des abattoirs existants dans les rues du Mû et des Trois-Canards. Aussi on ne peut être étonné des nombreux inconvénients qui en résultent, des dangers fréquents qu'ils occasionnent, des scènes tumultueuses qui s'y passent, et des vœux émis depuis longtemps par tous les Bordelais pour qu'un tel ordre de choses cesse d'exister.
Examinons à présent les eaux du Peugue, les seules qui sont et qui peuvent être employées aux manipulations et au lavage des viandes, tant dans les rues du Mû et des Trois-Canards, que dans la rue des Herbes. Le ruisseau du Peugue traverse la ville de Bordeaux. Avant d'y arriver, il est occupé dans l'étendue d'un quart de lieue par des blanchisseuses qui en imprègnent les eaux des miasmes et saletés résultants des linges dont le blanchissage leur est confié. A ces blanchisseuses succèdent immédiatement une multitude de teinturiers, de mégissiers, de corroyeurs, de parcheminiers et autres artisans du même genre, logés dans des maisons qui bordent le ruisseau du Peugue, et qui en infectent les eaux par les travaux de leurs professions.Ce ruisseau reçoit, non seulement une grande quantité d'égouts, mais en outre le produit des latrines de toutes les maisons construites sur ses deux rives. Enfin, il recevra bientôt, par un canal de chasse, toutes les immondices et tous les produits des latrines de l'hôpital situé en face du fort du Hâ, et dont la construction est presque achevée.
C'est dans cet état d'infection que les eaux du Peugue arrivent aux rues du Mû, des Trois- Canards et des Herbes, et qu'elles servent à toutes les manipulations ou lavages des abattoirs qui y sont établis. L'intérêt général, et surtout la salubrité publique, n'exigent-ils pas impérieusement que de semblables eaux ne soient plus employées aux lavages des viandes destinées à la consommation des habitants ?
FONTAINE DE LA RUE DU MÛ
On comprend dans les conditions d'insalubrité décrites ci-dessus, qu'il était capital de pouvoir avoir accès à une source d'eau potable pour traiter les viandes des boucheries...
La fontaine de la rue du Mû se trouvait juste après l'intersection de la rue des Épiciers (aujourd'hui rue du Pas-Saint-Georges).
Elle était apparemment adossée aux premières maisons de la rue et son trop-plein se déversait vers le milieu de la rue (selon le schéma des archives).
Sa position (en "altitude") était très haute par rapport aux autres fontaines de la même source (Arlac & Tondu) et par un effet de niveaux, son bassin ne pouvait être rempli que lorsque les autres fontaines avant elle, étaient déjà remplies (par exemple: la fontaine du Poisson salé juste avant)...
Ce qui n'arrivait apparemment que quelques heures par jour dans les bonnes saisons.
Elle était alimentée via des tuyaux de terre cuite, passant sous la rue du Mû, qui furent ensuite réparés par des raccords au plomb sous la direction de l'ingénieur Thiac (ainé).
Cependant, plusieurs raisons firent qu'en Septembre 1824, le Maire déclina les travaux de remise en état de cette fontaine:
> Les riverains refusèrent de participer au frais des travaux nécessaires, (voir lettres à la fin de cette page)
> L'accès était dangereux pour le public en raison de la présence d'animaux, et faisait que le profit de ces eaux devenait réservé aux boucheries,
> La position haute de cette fontaine (voir photos de la rue ci-après) à la fin du réseau de distribution de l'eau sur les sources d'Arlac et du Tondu,
> La quantité limitée et déjà insuffisante de l'eau arrivant de ce côté de la ville.
Cette fontaine a donc dû plus ou moins fonctionner tant bien que mal jusqu'en Janvier 1833, date à laquelle furent transférées ces activités dans les nouveaux abattoirs construits place André Meunier. Le percement du cours Alsace-Lorraine a dû entraîner la disparition définitive de cette fontaine...
LOCALISATION DE LA FONTAINE
Ci-dessous j'ai repéré la fontaine par une flèche bleue, et j'ai ajouté d'autres flèches de couleur comme "points de repères fixes" d'une illustration à l'autre pour suivre l'enchaînement...
(=> Malheureusement impossible de mettre la main sur une représentation de la fontaine en elle-même...)
Ci-dessous: Vues du milieu de la rue du Mû, au niveau du passage vers la Rue des Herbes, en direction de la Rue des Épiciers
Ci-dessous: Vues depuis le haut du début de la rue du Mû, au carrefour de la Rue des Épiciers
PORTES FERMANT LES ACCÈS A LA RUE DU MÛ LORS DE L'ABATAGE DES ANIMAUX
30 Mars 1734 : "La jurade fait placer des portes de fer de 5 pieds de haut aux trois issues de la rue du Mû, pour prévenir les événements qui résultaient de la fuite des animaux que les bouchers tuaient dans ces lieux, ou empêcher que les voleurs ne s'y réfugiassent dans la nuit. Le renouvellement de cette précaution a eu lieu en 1802, par les soins du commissaire-général de police".
M'ENFIN !?
ANECDOTES ET INFORMATIONS ANNEXES
DU VIN DE BORDEAUX COULANT À FLOTS... 😃
En démolissant une maison adossée à la rue du Mû, à l’entrée de l’impasse de la rue du Loup, on trouva en 1756, les débris d’un ancien édifice; avec des inscriptions que le jurat-avocat Bareyre, qui s’y transporta, ne sut pas caractériser dans un procès-verbal , existant aux archives de la ville. A l’entrée de François Ier, le 9 avril 1526 , on avait construit dans la rue du loup, disent les manuscrits du temps, une fontaine qui versait du vin par des canaux dorés.
Entrée de François Ier, 1526 (Registre de Saint André): Le 9 avril 1526, François I revenant d Espagne, arriva de Langon à Bordeaux vers les deux heures après midi. Dès qu'il parut devant cette ville on fit jouer une nombreuse artillerie. Les jurats lui présentèrent à la descente du bateau une grande quantité de pièces d'or. Il les reçut, les leur rendit pour être employées aux fortifications de la ville. Le comte de Brion, maire, les harangua. Le roi fit son entrée à cheval au milieu des cardinaux de Bourbon et de Lorraine sous un drap d'or porté par quatre jurats. La porte du Cailhau par laquelle il entra était décorée de deux arcs de triomphe. On avait dressé des barrières des deux côtés de la place. Dès que le roi eut passé la porte, il trouva le parlement en corps et en robes rouges. Belcier, premier président, le harangua. Le clergé séculier et régulier vint au devant de lui processionnellement avec toutes les reliques des églises de la ville. Les ecclésiastiques étaient en chappe. Le roi salua profondément les reliques et continua sa marche. Les rues par lesquelles il passa pour aller à Saint André étaient superbement parées. Il y avait dans la rue du Loup une fontaine qui versait du vin par des canaux dorés.
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PÉTITION DES HABITANTS DU QUARTIER POUR LA REMISE EN ÉTAT DE LA FONTAINE DU MÛ ☹️
DEVIS POUR RÉTABLIR LA FONTAINE DU MÛ
DEVIS POUR LE RÉTABLISSEMENT D'UNE FONTAINE PLACE DU MARCHÉ
Note: le projet n'a jamais vu le jour.
ÉCHANGES ET DÉCISIONS SUR LA FONTAINE
- LES ABATTOIRS COURS DE LA MARNE (Ancien terrain du Fort Saint Louis) 🐮 🐷 🐑
Une ordonnance royale du 14 mai 1828 autorisait la construction de l'abattoir Cours de la Marne. En 1828, une compagnie fut chargée de construire un Abattoir Général à l'instar de ceux de Paris, sur les terrains de l'ancien fort Louis, pour remplacer les tueries particulières qui se faisaient dans la ville, principalement dans la rue du Mû.
Il contenait de vastes salles parfaitement aérées, arrosées par des eaux abondantes et disposées de manière à faciliter les manipulations diverses et tous les mouvements extérieurs et intérieurs. L'architecture est simple et parfaitement en harmonie avec la destination de l'édifice.
Cette construction fut faite moyennant une rétribution que la société en charge fut autorisée à percevoir sur le bétail qu'on tuera pendant trente ans dans cet établissement, lequel devint ensuite la propriété de la ville. L'abattoir fut mis en activité le 15 janvier 1833; et depuis cette époque, les tueries particulières qui subsistaient à Bordeaux furent prohibées... Les Abattoirs cours de la Marne furent démolis en 1940.
En 1938, l’architecte Jacques Debat-Ponsan dotait Bordeaux d’abattoirs pour bœufs et moutons, construits quartier Saint-Jean. Partiellement brûlée en en janvier 1997, et fermée en 2011, l’ancienne halle aux bestiaux a fait l’objet de l’une des plus vastes opérations de réhabilitation réalisées en France et donne naissance à la "Halle Boca". Après une période de test, le nouvel abattoir de Bègles a commencé à fonctionner, dans la zone d'Hourcade, tout près de la rocade...
Petite histoire des talons hauts ... les chaussures des bouchers 😅 :
A l’époque de l’Égypte antique, alors que la majorité de la population marchait pieds nus, les bouchers avaient l’habitude de porter des talons hauts, pour éviter de patauger dans le sang. Ces modèles de chaussures apparaissent d’ailleurs sur les murs de certains tombeaux égyptiens.
L’aspect pratique du talon haut a ensuite été adapté par les cavaliers perses, ce type de soulier leur assurant une meilleure stabilité dans les étriers. Au Moyen Âge, on voit apparaître les sabots, précurseurs des talons hauts, appelés « chopines ». Ces dernières deviennent rapidement à la mode partout dans le monde, principalement chez les aristocrates. Portées tant par les femmes que par les hommes afin d'afficher leur appartenance à la noblesse et leur supériorité par rapport au reste du peuple. Les chopines prennent la forme d'une plateforme en bois pouvant atteindre 60 centimètres. Elles sont si hautes et inconfortables que les gens doivent s'aider d'une canne pour marcher. Les cordonniers transformèrent petit à petit le modèle pour le rendre plus confortable.
TRACÉ DU PEUGUE ET SA CANALISATION VERS 1850
Comme on peut le voir, la canalisation du Peugue, verra son tracé passer désormais sous la rue des Herbes et la disparition du "Moulin du Marché" rue du Mû.
" Tout autour de la place s'alignent les bancs où se débitent viandes et poissons, bancs « carnassiers » ou « poissonniers »; à l'est, la « panneterie » destinée à la vente du pain; et tout au milieu, pêle-mêle, la « clie » où se débite le poisson de La Teste, le pilori où sont exposés les condamnés, et la croix du Dieu Sauveur. Le long des maisons s'étalent des boucheries, et derrière elles le moulin du Marché plonge ses roues dans le vieil estey du Peugue, dans lequel elles déversent les déchets. (Sa façade était ornée de charmantes sculptures et les étages supérieurs étaient en bois). C'est un chaos de sensations et de bruits. Nulle part Bordeaux ne "respire" plus franchement...
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PERCEMENT DU COURS ALSACE-LORRAINE 1865-1867
Le nouveau cours Alsace-Lorraine aura supprimé les 3 fontaines suivantes:
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=> https://www.bordeaux-qqoqccp.com/themes/fontaines-de-bordeaux/fontaine-du-poisson-salé
=> https://www.bordeaux-qqoqccp.com/themes/fontaines-de-bordeaux/fontaine-du-mu
AUTRES VUES DE LA RUE DU MÛ
Plans de maisons de la rue du Mû
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> Création de la page & publication: 02 Décembre 2020. Posté le même jour sous pseudo "Djé Karl" sur le groupe public Facebook Bordeaux Je Me Souviens: LIEN du post